Updated Sunday 15 May, 2011 12:18 PM

   Headlines  |  Alternate Histories  |  International Edition


Home Page

Announcements 

Alternate Histories

International Edition

List of Updates

Want to join?

Join Writer Development Section

Writer Development Member Section

Join Club ChangerS

Editorial

Chris Comments

Book Reviews

Blog

Letters To The Editor

FAQ

Links Page

Terms and Conditions

Resources

Donations

Alternate Histories

International Edition

Alison Brooks

Fiction

Essays

Other Stuff

Authors

If Baseball Integrated Early

Counter-Factual.Net

Today in Alternate History

This Day in Alternate History Blog



 

 

 

 

 

 

 

Et si Rome n'était jamais tombée aux mains des barbares ?

Par Pascal Lemaire

 

IIème partie

Les empereurs guerriers ( 271 - 284 )

II.1 : Le règne de Gallien

Suite à l'annonce de la capture de Valérien par les Parthes et de son décès une série de révoltes éclata, la plus sérieuse étant celle menée par Ingenuus. Gallien décida de se concentrer sur la partie centrale de l'Empire, laissant à l'usurpateur Postumus la gestion ( et surtout la défense ) de la Gaule et à Septimius Odenaethus le soin de pacifier l'Orient avec le titre de Dux. Cela lui laissa le temps d'effectuer de profondes réformes destinées à stabiliser l'Empire et à professionnaliser l'armée. Une des principales mesures prise par Gallien fut la décision de retirer aux sénateurs le commandement des armées, qu'il attribua aux chevaliers avec l'espoir que ceux-ci se révolteraient moins souvent contre l'Empereur.

En 265 Postumus viola la trêve tacite qui existant entre les deux hommes en essayant d'envahir l'Italie. La guerre dura 3 ans et se conclut par une bataille entre les deux hommes dans la région d'Augustodunum ( Autun ) et fut une victoire totale pour Gallien qui épargna cependant les soldats de son ennemi pour ne pas trop affaiblir la frontière nord où le dernier assaut massif des barbares ne datait que de 262. Il décida même de lancer une expédition au delà du Rhin pour essayer de créer un no man's land entre la frontière et les barbares pour donner un peu de répit au Limes.

Au même moment les Alamans commencèrent à envahir le nord de l'Italie. Trop occupé par les dernières opérations de la guerre contre Postumus Gallien envoya son maître de cavalerie Marcus Aurelius Claudius affronter l'ennemi. La difficile bataille du lac de Gardes fut une victoire romaine. Mais il n'y avait pas le temps de se réjouir, les Goth ayant envahi les Balkans et pillé Athènes ainsi que plusieurs autres cités. Les Goth avaient également construit une flotte avec laquelle ils avaient entrepris de menacer les échanges commerciaux et les villes de toute l'Egée. Claudius reçu donc l'ordre de les écraser. Claudius remporta une importante victoire sur le Nestus qu'il fit suivre d'une série de victoires de moindres importances qui lui permirent de récupérer tout le butin emporté par les barbares. Marcus Aurelius Claudius acquis alors son titre de Gothicus, qui ne devait plus le quitter.

Croyant que l'Empereur et son maître de cavalerie étaient trop occupés par leurs luttes contre les barbares, Aureolus, commandant d'une unité de cavalerie basée à Mediolanum ( Milan ) se révolta fin 268. Ses informations étaient cependant mauvaises car l'Empereur revenait justement de Germanie à ce moment là, ayant réorganisé la défense du Rhin. Il écrasa donc la rébellion d'Aureolus avant qu'elle n'aie le temps de se répandre, et tua le traître au moment où ce dernier cherchait à se réfugier dans la ville de Mediolanum. Il dut ensuite faire face à une armée composée de Vandales et de Juthunges qu'il finit par écraser à Pavie en 271.

Immédiatement après une nouvelle campagne dut être lancée, en orient cette fois, contre la reine de Palmyre Zénobie. Gallien, qui devient âgé, décide d'envoyer à nouveau son loyal maître de cavalerie Claude le Gothique. Après 2 ans de campagne Claude finit en 273 par capturer Zénobie. Gallien décide alors d'adopter Claude et d'en faire son héritier.

En 274, après 21 ans de règne, l'Empereur Gallien s'éteint dans son sommeil.

II.2 : Le règne de Claude II le Gothique

La transition du pouvoir entre le défunt Gallien et Claude II se déroula sans révoltes notables. L'efficacité de Claude durant les campagnes contre les Goth et Zénobie avait assis sa réputation de guerrier, et les réformes entreprises par Gallien avaient stabilisé l'armée. Immédiatement après son accession au trône Claude II associa son frère Marcus Aurelius Claudius Quintillus à son pouvoir en faisant de lui son successeur et en le nommant à la tête des armées du Danube avec le titre de Dux. Par ailleurs il nomme à la fin de 275 le général Probus, qui s'était particulièrement illustré durant la campagne contre Zénobie, Dux Orientalis avec pour mission la défense de la frontière orientale de l'Empire et de ses intérêts dans la région, notamment en Arménie. Cette mesure avait été prise de manière à assurer les arrières de Claude II tandis que celui-ci se rendait en Gaule où une invasion massive de plusieurs dizaines de milliers de germains était en cours. Francs et Alamans furent cependant taillés en pièces alors qu'ils revenaient vers le Rhin, chargés de leur lourd butin. Les historiens ultérieurs évoquèrent le chiffre de 400 000 germains tués au cours de cette bataille et des jours qui suivirent. Ne leur laissant aucun répit Claude II franchit le Rhin et ravagea la région, massacrant tous les germains qu'il y trouva. Ces actions mettent la Gaule à l'abri pour quelques années. Il ordonne néanmoins qu'un important programme de fortification des villes soit réalisé pour les mettre à l'abri de futurs raids.

Au même moment en Orient le Dux Orientis Probus affronte les Blemmyes qui ravagent le sud de l'Egypte. En 279 l'armée du Danube, sous le commandement du Dux Danubiis Marcus Aurelius Claudius Quintillus, repousse les assauts des Vandales et des Burgondes en Rhétie, et ceux des Sarmates en Thrace. Mais le Dux est blessé au cours des combats et décède. Claude va alors adopter le Dux Orientis Probus, qu'il laisse en poste, et nommer le général Marcus Aurelius Carus Dux Danubii en remplacement de Claudius Quintillus.

Tous ces combats ont affaiblis les armées de Gaule et du Danube. Claude II décide donc de recourir à la pratique de la colonisation républicaine en accordant des terres à des pauvres de Rome qui sont par ailleurs obligés de combattre avec l'armée. Par ailleurs les réformes de Gallien ont donné un nouveau souffle à l'économie qui rapporte suffisamment de taxes à l'Etat que pour permettre à Claude de baisser les impôts. Il mène par ailleurs une réforme monétaire pour encourager l'économie. La vigueur avec laquelle les frontières étaient défendues permettait en outre aux marchands de recommencer à commercer à longue distance. Il autorise par ailleurs à nouveau la production de vin en grandes quantités hors d'Italie, ce qui accélère la remise en état de la Gaule.

En 282 Claude II le Gothique décéda et fut remplacé sur le trône par son successeur désigné, Probus.

II.3 : Probus Parthicus

Le nouvel Empereur, M. Aurelius Probus, était né à Sirmium en Pannonie, point clé du Limes danubien. Dés sa plus petite enfance il avait été environné de militaires, et l'armée avait été toute sa vie. Depuis 275 il avait été nommé Dux Orientis par Claude II et l'était resté jusqu'à son rappel à Rome par l'Empereur en 279. En 280 il avait été envoyé par Claude II négocier une paix avec Varham II de Perse, qui fut conclue en 281. Probus était donc sur le chemin du retour vers Rome quand Claude II décéda. Il rentra dans la capitale où il fut officiellement nommé Empereur par le Sénat. Il espérait avoir la paix pour quelques temps mais bientôt la nouvelle lui parvint que les Perses avaient rompus le traité et étaient en route vers Apamée. Immédiatement Probus partit pour l'Orient. Mais, alors qu'il passait par sa ville natale, il inspecta un détachement de légionnaires occupé à rénover une route. Mécontent de certains d'entre eux il ordonna qu'ils soient châtiés. Ceux-ci prirent le devant et l'attaquèrent. Le détachement de numerii ( la garde rapprochée de l'Empereur constituée de 200 francs ) et de prétoriens ( la garde officielle de l'Empereur ) les écrasa mais pas avant que Probus ne soit atteint d'un coup d'épée heureusement sans gravité.

Cependant, choqué par les évènements, il décida de se nommer un successeur afin que la continuité du pouvoir soit assurée dans le cas où il lui arriverait malheur. Il adopta donc M. Aurelius Carus, qu'il avait récemment nommé Préfet du prétoire, et le désigna comme étant son successeur. Il le charge en outre de défendre la partie occidentale de l'Empire. Ensuite Probus reprit son chemin vers l'Orient et la guerre contre les Perses. Il arriva sur le front début avril, précédé par des messagers portant ses ordres pour la préparation de la campagne. Il avait pour cette guerre mobilisé toutes les légions d'Orient, la moitié de la légion égyptienne, et amené avec lui trois légions danubiennes représentant un quart des effectifs basés sur cette frontière. Au total, 14 légions d'infanterie régulière supportées par de nombreuses unités d'auxiliaires, et notamment des unités de cataphractes et de climbanarii, des unités de cavalerie lourdes particulièrement puissantes lorsque utilisées à bon escient.

En quelques mois les romains écrasèrent le gros des forces perses et capturèrent les villes majeures de la partie occidentale de l'empire perse, ceux-ci étant refoulés dans les montagnes d'Iran. Suite à cette écrasante victoire, Probus décida de récréer les provinces de Mésopotamie et d'Assyrie fondées par Trajan lors de sa campagne dans la région en 117. Immédiatement il commença à jeter les bases d'une implantation romaine permanente qui à l'est irait de la mer Caspienne au golfe persique et au nord s'arrêterait au pied des montagnes du Caucase. Mais pour établir cette nouvelle frontière il fallait encore soumettre ( une nouvelle fois ) le royaume d'Arménie. Cette fois-ci il serait définitivement annexé à l'Empire sous forme d'une province d'Arménie.

Le printemps et l'été 283 furent consacrés à cette tâche. Devant sa victoire, les Perses vinrent demander la paix. Elle leur fut accordée par le traité de Tigranocerta, qui reconnaissait la puissance romaine et le contrôle par l'Empire de l'Arménie et des terres à l'ouest des montagnes d'Iran. La nouvelle capitale perse fut installée sur le site de la vieille capitale Persepolis. Jamais cet empire ne devait se relever de ce traité, et il ne constitua plus jamais une menace pour l'Empire romain.

Suite à cette éclatante victoire Probus décida de rentrer à Rome pour y célébrer son triomphe. Cependant en cours de route il tomba malade et décéda soudainement près d'Athènes.

II.3.1 : Sirmium, 1035 A.U.C.

Marcus Vervicius Supponis était originaire de Belgique première, étant né à Orolaunum ( Arlon ) en 1006 après la fondation de Rome ( A.U.C. ) d'un père légionnaire revenu sur la terre de ses ancêtres après une vie passée au service de Rome sur le Limes du Rhin. A la mort de son père Marcus s'était engagé à son tour dans la légion, pour 25 ans. Très tôt son unité avait été envoyée sur le Danube, et il était présentement basé près de Sirmium, importante ville de Pannonie inférieure située au milieu de l'Empire.

Marcus était de mauvaise humeur car son centurion, Sextus Cornelius Felix, un romain de Rome, l'avait puni et affecté au travaux d'assainissement des marais proches de la ville. Tout ça parce qu'il était partit retrouver cette fille du vicus voisin... cette garce n'avait même pas voulu coucher avec lui, et avait tant et tant crié que les voisins étaient accourus et avaient envoyé un messager au camps... Bon, d'accord, il n'aurait pas du quitter son poste de garde durant son service pour aller la voir, mais il avait envie d'elle, ça n'était pas un crime ? Et maintenant le centurion qui l'avait mis de corvée deux semaines, et lui avait promis une semaine de garde de nuit en plus, sans parler de la réduction de solde et, humiliation suprême, les coups de fouet qu'il avait reçu devant toute la centurie... Franchement, alors que les barbares n'avaient plus attaqué depuis des mois...

Tout en ruminant ces pensées il continuait de creuser avec sa bêche, façonnant des mottes de terre qu'il ôtait ensuite de manière a creuser un canal qui drainerait le marais. Il ne faisait pas chaud, vraiment pas chaud, mais le travail l'assoiffait. Il avait bien prit une gourde de vin, mais il l'avait déjà bue, et le soleil n'était pas encore au zénith.

Soudain il entendit du bruit. Se retournant il vit un officier, vêtu de sa belle armure, entouré par ses numerii, de grands guerriers blonds barbares. Des germains, à n'en pas douter. Pas un qui ni fut plus petit que Marcus. Tous montaient de beaux chevaux. L'homme devait être un légat, un commandant de légion... Peut-être même le gouverneur de la province, se dit Marcus, voyant que l'escorte comprenait également quelques cavaliers légionnaires purement romains.

Sans gène, un peu saoul, il lança à l'officier "Officier, aurais-tu à boire pour un soldat travaillant pour le bien-être de l'Empire ?". L'officier arrêta son cheval et toisa Marcus. "Quel est ton nom, soldat ?" lança-t-il dans un latin teinté de l'accent régional. "Marcus Vervicius Supponis, officier. Soldat de la IIème légion Adiutrix, centurie de Sextus Cornelius Felix, officier" répondit Marcus, commençant à prendre conscience de son impertinence.

L'officier descendit de sa monture et s'approcha de Marcus. "Mais tu pue le vin ! Tu bois pendant le service ?" lança-t-il. Se retournant vers ses hommes, il lança : "Emparez vous de cet homme !". Deux germains s'emparèrent de Marcus avant que ce dernier n'aie eu le temps de faire un geste. Il fut prestement ligoté et mis sur un cheval de réserve de la troupe.

Le groupe se mit alors en route vers le camp de la légion. Là, l'Empereur Probus ( car c'était lui l'officier ) convoqua le légat de la légion. Celui-ci était à Sirmium lui répondit-on, en conférence avec le gouverneur. Probus ordonna qu'un messager le rappelle immédiatement au camp. En attendant, le centurion Cornelius Felix fut convoqué.

Le centurion arriva, et salua respectueusement l'Empereur. Celui-ci lui demanda alors pour qu'elle raison Vivicius Supponis avait été affecté aux travaux d'assainissement. "Lui César ? Je l'ai puni pour avoir quitté son poste de garde de nuit pour aller essayer de coucher avec une fille du vicus, qui n'était pas consentante." " Et il est toujours en vie ? C'est un crime grave ! C'est un cas de Fustuarium ! En ne le condamnant pas tu as toi même commis une faute grave centurion ! Retire toi, pendant que je réfléchis à une sentence appropriée."

Le centurion retourna dans ses quartiers, où l'attendaient ces hommes. Le sort voulait que ce soit justement la centurie de Cornelius Felix qui soit de garde ce jour là, la plupart des autres centuries étant en patrouille où occupées à diverses tâches. Les paroles de l'Empereur avaient effrayé le centurion, et il craignait que l'Empereur n'ordonne sa mise à mort. Il expliqua la situation à ses hommes, en disant qu'ils risquaient la décimation à cause du comportement de Marcus. Il leur dit qu'il n'y avait qu'une solution, tuer l'Empereur avant que le reste de ses numerii et de ses prétoriens n'arrive.

Silencieusement les hommes regagnèrent leur tente où ils revêtirent leur armure et sortirent leurs armes avant de se regrouper. Commandés par Cornelius Felix ils marchèrent vers le praetorium, le poste de commandement où l'Empereur s'était installé. Immédiatement les gardes de l'Empereur, une cinquantaine d'hommes, formèrent un carré et l'Empereur lui-même sortit du praetorium, l'arme à la main. Avant que les autres soldats de la légion présents au camp ne puissent réagir la centurie chargea la garde impériale. Le combat quoique bref fut particulièrement violent. Les mutins furent écrasés par les hommes d'élite formant la garde de l'Empereur, mais ce dernier fut tout de même blessé à la tête par un coup d'épée heureusement dévié par le casque. Néanmoins le choc avait fait perdre connaissance à Probus qui fut immédiatement porté dans le praetorium où le médecin de la légion vint l'examiner.

Ce n'est que le lendemain que Probus se réveilla, furieux de ce qui s'était passé. Le légat était arrivé et n'en menait pas large. Probus ordonna le rassemblement de l'unité tout entière. Le reste de la garde prétorienne et des numerii était arrivé pendant la nuit. Formant un cordon défensif devant la tribune construite pour l'occasion, les gardes impériaux faisaient face à la légion. Probus se lança dans un bref discours sur la discipline avant d'annoncer sa sentence. Les rares survivants de la centurie rebelle seraient mis à morts. Le reste de la légion serait décimée, une peine qui n'avait plus été pratiquée depuis longtemps, surtout à cette échelle.

Les hommes de chaque centurie tirèrent alors au sort ceux qui, parmi eux, mourraient avant la fin de la journée. Un homme sur dix fut ainsi tué, et toute l'unité forcée de camper hors des murs du camps. Après avoir assisté à l'exécution de la sentence, Probus se remit en route, en litière, afin de gagner au plus vite l'armée d'Orient qu'il espérait plus fidèle. En chemin, il devait décider d'adopter M. Aurelius Carus, son préfet du prétoire, et en faire son successeur désigné.

II.4 : Une difficile succession

L'annonce de la mort de Probus éclata comme un coup de tonnerre dans l'Empire. A Rome tout d'abord le Sénat nomma M. Aurelius Carus Empereur, selon l'ordre de succession prévu par Probus. Dans le même temps C. Aurelius Dioclès Diocletianus fut proclamé empereur par les 3 légions danubiennes qui accompagnaient Probus sur le chemin du retour tandis qu'en Illyrie un certain Julianus que ses soldats avaient acclamé Empereur.

Face à cela Carus n'hésita pas une seule seconde. Recrutant une armée et faisant venir une légion de Gaule à marches forcées, il regroupe ses forces en Gaule Cisalpine. Pendant ce temps Julianus se prépare à marcher sur l'Italie afin de s'emparer de Rome. A Athènes Dioclétion décide lui aussi de prendre Rome, qu'il gagnera par voie terrestre afin d'éviter la flotte impériale, contrôlée par Carus.

Au printemps 284 les trois légions rassemblées par Carus rencontrent près de Sirnium la légion dirigée par Julianus, et l'écrasent au prix de lourdes pertes car deux des légions de Carus étaient inexpérimentées, à l'inverse de leurs adversaires vétérans du front danubien. C'est alors que Dioclétien frappe les forces de Carus. Les vétérans de la campagne d'Orient écrasent la légion gauloise et les deux autres unités se rendent immédiatement à Dioclétien. Carus lui meurt lors d'une ultime charge à la tête de ses numerii.

 

Hit Counter